Pas d'armes à l'Université du Québec en Outaouais

Pierre Bergon un éditorialiste du journal Le Droit qui appui la décision de l’université du Québec en Outaouais de ne plus permettre la tenue du cours de chasse et de maniement des armes à feu. Quelle bande d’imbéciles ! Vont-ils aussi interdire les cours de judo et de karaté parce que cela titille leur susceptibilité ? Mais dans le fonds, rien de surprenant la dedans, nos biens pensants veulent un registre QC et la disparition des armes et de la chasse …. C’est peut-être à se demander si les cadres de l'UQ n’ont pas reçus certaines directives et un cours de rafraichissement 101 concernant la Loi 9 Anastasia ? Ce ne serait même pas surprenant ! Et le minable journaleux qui régurgite tout ça..c’est de la démagogie dégeulasse...Totalement Incroyable !

http://www.lapresse.ca/le-droit/opinions/editoriaux/pierre-bergeron/201312/06/01-4718560-pas-darmes-a-luqo.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_opinions_3866_section_POS2

L'Université du Québec en Outaouais (UQO) est tout à fait justifiée de refuser que soient données en ses lieux des formations pour l'obtention d'un certificat de chasseur et du Cours canadien de sécurité dans le maniement des armes à feu.

La Fédération québécoise des chasseurs et des pêcheurs se dit outrée. Or, la Loi québécoise visant à favoriser la protection des personnes à l'égard d'une activité impliquant des armes à feu stipule clairement que les institutions désignées comprennent, entre autres, écoles, cégeps et universités.

Les organismes qui offrent ces formations le font en toute légalité et dans le respect le plus strict des règles élémentaires de sécurité et ce, avec toutes les autorisations nécessaires.

Par contre, il y a des sensibilités dont l'UQO doit tenir compte dans la poursuite de sa mission d'éducation. Sans remettre en question le comportement de ceux qui suivent les formations sur le maniement des armes, l'UQO n'opère pas en vase clos. Ce lieu de savoir ne peut tolérer la proximité, ne serait-ce que perçue, d'armes dans ses locaux. L'histoire récente nous enseigne qu'en la matière, le principe de précaution s'applique et que des lignes directrices claires doivent s'imposer, même au détriment des citoyens qui veulent apprendre le maniement sécuritaire des armes à feu.

sa va peut être réveiller nos zigoto de la fédé.... qui d orme au gaz tant que sa les touche pas mais la il faut qu il trouve un autre locale pour leur cours



que vont t il faire

http://www.fedecp.qc.ca/2013/decembr...s-les-citoyens


Québec, le 4 décembre 2013 - Sécurité nature, la filiale éducative de la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs, est complètement outrée du comportement de l’Université du Québec en Outaouais (UQO). En effet, la semaine dernière, cette institution a décidé de mettre à la porte les organismes qui prodiguaient au sein des locaux de l’UQO, par le biais d’une entente légale qui dure depuis 22 ans, les formations permettant l’obtention d’un certificat du chasseur et du Cours canadien de sécurité dans le maniement des armes à feu (CCSMAF).

Pour expliquer sa décision, l’UQO cite de façon erronée certains articles de la Loi 9 stipulant entre autres l’interdiction de posséder toutes armes à feu sur les terrains et dans les bâtiments d’une institution d’enseignement. Or, Sécurité nature a toujours agi en toute légalité, avec l’aval de la Sûreté du Québec et du ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs (MDDEFP). D’ailleurs, la Sûreté du Québec a validé avec les instances de l’UQO la légalité de la tenue de ces cours au sein des locaux de l’université. Il est également bon de rappeler que tout le matériel utilisé aux fins d’enseignement est désactivé (le canon des armes à feu est percé et le percuteur est retiré, tandis que les munitions sont factices), empêchant ainsi toute utilisation. Ces armes peuvent donc être comparées à un simple morceau de tuyau perforé.

En prenant cette décision, en plus de ne pas respecter l’entente préétablie, l’UQO prive 323 citoyens de l’accès aux formations du Programme d'éducation en sécurité et en conservation de la faune (PESCOF)auxquelles ils se sont inscrits et ont droit.Une décision qui s’explique bien mal provenant d’une institution d’enseignement supérieur recevant plusieurs subventions financées par les citoyens du Québec et ayant comme mission de favoriser l’accessibilité à la formation ainsi que le développement des régions.

Rappelons que Sécurité nature, par le biais de ses quelque 450 moniteurs bénévoles, forme chaque année près de 45 000 personnes pour l’ensemble des formations du PESCOF. Sécurité nature espère que l’UQO respectera son entente afin que les 323 citoyens puissent suivre leur formation.

La federation dit-tu hum.