Trudeau et la dictature. Anglais seulement desolé...

http://www.huffingtonpost.ca/daniel-dickin/trudeau-dictator_b_6314494.html


It's becoming clearer as the days of Trudeau's Liberals wear on: if elected Prime Minister, Justin Trudeau would turn Canada into a dictatorship.

This is the man who admitted he "admires China's basic dictatorship." It wasn't just a sarcastic comment - he seriously said that he admires the dictatorship because they can get things done quickly.

And it's becoming clearer that Trudeau not only admires the dictatorship -- he runs the Liberal Party like one too.

How else can one explain the police-enforced acclamation of Andrew Leslie as the Liberal candidate for Orleans? Even with hundreds of Liberals attending the meeting to show their support for another candidate (and former Trudeau leadership rival), it was clear from the beginning that Leslie was Trudeau's hand-picked favourite, and certainly wouldn't be stopped by pesky processes like "democracy."

Just the imagery of Trudeau's chosen candidate being selected with police intervention is scary. It shows that Trudeau doesn't just admire China's dictatorship -- he would practice one if he had the chance.

The nomination in Orleans is only the latest rigged "open nomination." Despite Trudeau's promises to actually, you know, practice democracy, at least a half dozen Liberal nominations have been rigged or tampered with through the direct intervention of Trudeau's office: mysteriously disqualifying candidates, changing nomination dates, paperwork going "missing," and using dirty "back-room" politics to ensure the leader's candidate is chosen at any cost.

But those are only Liberal candidates; surely Trudeau would loosen his grip on his caucus colleagues once they've been elected, wouldn't he? Unfortunately, no. The Liberal caucus randomly learned one morning early last year that their leader had come up with a new diktat: that all Liberals would be expected, no, required, to vote pro-choice. When Trudeau's pathetic attempted defence (that they were "the party of the Charter," obviously missing those small sections about freedom of conscience and religion) agitated more than a few Liberal MPs, he attempted to invent some weird "grandfathering" rule. But then he went back on that too.

The result is that Liberal MPs who dare question the diktat of Trudeau are being punished. Those who dare disagree have already been punished, resigned, or indicated that they won't seek another term in office -- at least not under the iron fist of Trudeau.

Or we can look to the expulsion of those kinda-sorta-maybe "Senate Liberals," who were unilaterally expelled (but not really) by Trudeau without the slightest consultation with the Senate Liberal leadership.

The Liberal Party under Justin Trudeau has become a dictatorship. The leader of that party does what he wants, when he wants, and no one dares question him.

Now that we know that Trudeau runs his party like a dictatorship, we must ask ourselves: is there any indication he wouldn't do the same as the leader of Canada?

Would a Prime Minister Trudeau arbitrarily whip the vote and outlaw certain moral questions? Could Prime Minister Trudeau be trusted to make decisions for the good of the country, not just for his personal self-worth? Would Trudeau call in the police to enforce his vision?


------------------------------

traductoion Google

--------------------------------

Il devient clair que les jours de libéraux de Trudeau portent sur: il est élu premier ministre, Justin Trudeau serait transformer le Canada en une dictature.

Ceci est l'homme qui a admis qu'il "admire la dictature de base de la Chine." Il était non seulement un commentaire sarcastique - il dit sérieusement qu'il admire la dictature, car ils peuvent faire avancer les choses rapidement.

Et il devient plus clair que Trudeau non seulement admire la dictature - il dirige le Parti libéral comme un de trop.

Comment peut-on expliquer l'acclamation forcée par la police de Andrew Leslie en tant que candidat libéral pour Orléans? Même avec des centaines de libéraux assister à la réunion pour montrer leur soutien à un autre candidat (et ancienne direction rival Trudeau), il était clair dès le début que Leslie était le favori cueillies à la main de Trudeau, et certainement ne serait pas arrêté par des processus embêtants comme " la démocratie."

Juste l'imagerie du candidat choisi par Trudeau étant sélectionné avec intervention de la police est effrayant. Il montre que Trudeau ne se contente pas d'admirer la dictature de la Chine - il pratiquer si il avait la chance.

La nomination à Orléans est seulement la dernière truquées "candidature ouverte." Malgré les promesses de Trudeau à fait, vous le savez, la pratique de la démocratie, au moins une demi-douzaine de candidatures libéraux ont été truquées ou altéré par l'intervention directe du bureau de Trudeau: disqualifiant mystérieusement candidats, en changeant les dates de mise en candidature, la paperasse va "disparus", et en utilisant sale "back-room" la politique pour assurer le candidat du chef est choisi à tout prix.

Mais ce ne sont que les candidats libéraux; sûrement Trudeau desserrer son emprise sur ses collègues du caucus une fois qu'ils ont été élus, ne serait-il? Malheureusement non. Le caucus libéral a appris au hasard un matin début de l'année dernière que leur chef était venu avec un nouveau diktat: que tous les libéraux pouvait s'y attendre, non, nécessaire, de vote pro-choix. Lorsque pathétique tentative de défense de Trudeau (qu'ils étaient «le parti de la Charte," manifestement manquant ces petites sections au sujet de la liberté de conscience et de religion) agité plus que quelques députés libéraux, il a essayé d'inventer une "grandfathering" règle bizarre. Mais ensuite il est revenu sur cela aussi.

Le résultat est que les députés libéraux qui osent remettre en question le diktat de Trudeau sont punis. Ceux qui osent désaccord ont déjà été punis, a démissionné ou ont indiqué qu'ils ne chercheront pas un autre mandat - du moins pas sous la main de fer de Trudeau.

Ou nous pouvons regarder à l'expulsion de ces peu-sorta, peut-être "," libéraux du Sénat qui ont été expulsés de manière unilatérale (mais pas vraiment) par Trudeau sans la moindre consultation avec la direction des sénateurs libéraux.

Le Parti libéral, sous Justin Trudeau est devenu une dictature. Le chef de ce parti fait ce qu'il veut, quand il veut, et personne ose lui poser des questions.

Maintenant que nous savons que Trudeau dirige son parti comme une dictature, nous devons nous demander: est-il une indication qu'il ne ferait pas le même que le chef de file du Canada?

Serait un premier ministre Trudeau fouetter arbitrairement le vote et interdire certaines questions morales? Le premier ministre Trudeau pouvait faire confiance pour prendre des décisions pour le bien du pays, non seulement pour sa propre valeur personnelle? Serait Trudeau appel à la police pour faire respecter sa vision?